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À CHARTRES, La loge « La Franchise » est composée d’une quarantaine de femmes et d’hommes reconnus égaux en droits et en devoirs, de toutes origines, de toutes conditions et de toutes professions. Les uns sont en activité, les autres sont retraités. D’aucuns sont croyants, d’autres sont athées ou agnostiques. Certains sont diplômés, d’autres non car ils ont dû ou souhaité entrer plus tôt dans la vie active. 

 

Quelles que soient leurs différences, tous s’insurgent contre les manifestations de haine, de racisme, d’antisémitisme ou contre toute autre forme d’exclusion sociale, tous adhèrent fermement au principe de laïcité, tous revendiquent la liberté absolue de conscience, tous se déclarent unis par les principes de tolérance mutuelle, de respect des autres et de soi-même, de solidarité et de fraternité.

Bannière de La Franchise
Poignée de mains maçonnique

En héraldique une poignée de main s’appelle une « FOI », la foi en l’autre. On dit de la Foi qu’elle est parée, lorsque les poignets sont entourés d’une étoffe. C’est le cas pour la poignée de main estampée sur l’avers du jeton de la loge « La Franchise ». Elle symbolise la Foi en l’autre, la Fidélité, la Fraternité et la   Franchise.

Que faisons-nous ?

Les frères et les sœurs de « La Franchise » se réunissent deux soirées par mois, non pour le seul plaisir de se rencontrer, mais aussi et surtout pour travailler à leur éveil personnel et à « l’amélioration matérielle et morale et au perfectionnement intellectuel et social de l’Humanité ».

Certes la tâche est incommensurable, rude, ambitieuse, presque déraisonnable, mais les membres de « La Franchise » sont malgré cela résolus à surmonter les obstacles, à progresser pas à pas, à jeter des passerelles entre les Humains et à imaginer des solutions, parfois utopistes, pour faire évoluer la société vers davantage d’équilibre et de justice sociale.

Le travail maçonnique permet à chaque sœur et à chaque frère de se mieux connaître (le connais-toi toi-même de Socrate) et surtout de découvrir les autres. Ainsi les frères et les sœurs peuvent-ils s’enrichir de leurs diverses expériences, de leurs réussites comme de leurs échecs, de leurs doutes comme de leurs certitudes, de leurs qualités comme de leurs défauts.

En adoptant une démarche de progrès, libre et ouverte, les francs-maçons de « La Franchise », comme dans bien d’autres loges, travaillent sur les thèmes sociétaux les plus cruciaux qui intéressent et préoccupent nos contemporains comme la laïcité, la fin de vie, la sauvegarde de l’environnement, le revenu universel et bien d’autres sujets encore.

Les francs-maçons, femmes et hommes de « La Franchise » relèvent sans cesse de nouveaux défis. Chaque réunion est l’occasion pour l’un d’entre eux de présenter un travail personnel sur un thème sociétal.  S’ensuivent pour ceux qui le souhaitent, des prises de parole. On assiste alors à l’émergence de points de vue originaux voire iconoclastes, à la suggestion d’idées nouvelles, autant de propositions qui viennent alimenter la discussion et amender la réflexion collective.

 

Les frères et les sœurs se plaisent aussi à travailler sur le symbolisme hérité des traditions de la Franc-Maçonnerie. Les symboles sont nombreux. Ils inspirent le respect par leur capacité à favoriser l’unité et le dynamisme de notre confrérie, mais aussi par leur utilité à créer des conditions propices à la réflexion et à la communion des esprits.

 

Comme vous le voyez, « La Franchise » n’est pas un cercle mondain, mais un « atelier » où des femmes et des hommes travaillent en toute sérénité, en suivant une méthode initiatique progressive qui parie sur l’intelligence collective, dans la perspective d’améliorer la société.                                  

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